Ces cellules sont capables de se différencier, in vitro, en d’autres dérivés de cellules souches mésenchymateuses tel que les odontoblastes, les chondrocytes, les ostéoblastes et les adipocytes. En outre, ces DPSC sont aussi aptes à se différencier en neurones, suggérant ainsi, leur potentiel en tant que thérapie cellulaire pour le traitement des pathologies nerveuses. Elles peuvent être ainsi une source allogénique de cellules souches mésenchymateuses.